chevaleresque
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Atelier de réecriture collectif.

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Atelier de réecriture collectif. Empty Atelier de réecriture collectif.

Message par Hyoga Cygnus Mer 27 Jan - 14:15

Bon alors je propose l'exercice suivant. Un chevalier écrit une petite histoire. Ensuite les autres chevaliers la réecrivent dans leur propre style d'écriture.

Je commence.




moi a écrit:Il était une fois dans un pays magique sur une planète merveilleuse, une princesse qui avait du mal à trouver un prince charmant car elle était attardée mentale et obèse.

Un jour, tandis que le manque d'amour sexuel la brûlait, elle décida de se taper le chien. Mais comme le chien était maladroit il se trompa de trou et lui pénétra l'anus. Or elle n'avait pas prévu une sodomie et son rectum était rempli de merde.

Le chien en ressortit alors avec la bite couverte de caca. Elle voulut nettoyer la bite du chien mais sur cette planète magique le sopalin n'existait pas. Elle décida donc de lui faire une pipe pour sucer la merde.

Après avoir bien avalé tout le caca, la princesse alla regarder game of throne à la télé.

FIN.

Hyoga Cygnus

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Atelier de réecriture collectif. Empty Re: Atelier de réecriture collectif.

Message par PoignéeDePorte Jeu 28 Jan - 2:46

Il était une fois, une contrée chatoyante de verdure et fraîche de vie. Dans cette contrée, à l'orée de la forêt, près de la clairière, il y avait une tours si haute, que l'on avait l'impression que son sommet caressait les étoiles. Elle était recouverte de lierre grimpant entre les briques abîmés par l'usure du temps et le vent soufflant sa peine. Dans cette tours vivait une princesse retenue captive depuis son plus jeune age. Aucun prince charmant n'était jamais venu la courtiser à cause de son léger embonpoint et de ses capacités mentales réduites. Alors, assise sur sa fenêtre, elle chantait du matin au soir la comptine que sa mère lui avait apprise quand elle était encore une jeune enfant. Sa seule source de distraction était Dagobert, son fidèle chien, qui l'avait vu grandir.

Quand un jour, la jeune princesse entrant dans l’adolescence a atteint les 15 ans, à partir de ce moment, elle a commencé à ressentir une sensation étrange, comme un manque. Tout d'abord, elle a pensé qu'il s'agissait tout simplement du manque d'affection, d'amour, elle était jalouse en pensant à toutes les autres princesses qui avaient le droit, elles, au prince charmant et au bonheur. Mais petit à petit, elle se rendit compte qu'il y avait autre chose qui lui brûlait l’intérieur, quelque chose de plus fort, de plus dérangeant. Et un jour, elle compris. C'était le manque sexuel qu'elle commençait à ressentir. Alors elle commença à se demander comment faire pour combler ce manque, ne connaissant rien de la vie, elle ne trouvait aucun moyen. Un soir, elle se surpris à avoir une pensée bien étrange.. Dagobert. Alors, elle s'approcha farouchement du chien, lui fit une révérence, et commença à lui caresser le ventre. Dagobert ayant l'air de bien réagir à ses caresses, commença à remuer la queue. La jeune fille, comprenant que c'était le moment, défit lentement son corset et ses jupons, jusqu'à se retrouver entièrement nue, allongée sur le plancher. Alors, Dagobert, posa ses pattes mouillées sur le dos de la jeune fille et débuta son affaire, mais étant aussi maladroit que sa propriétaire, il n'arriva pas à se diriger correctement, et fit fausse route en s'attaquant directement à sa fleure si délicate. Mais la princesse, ne s'attendant pas à ça, ne s'était pas préparée en lavant son intimité anale. Le chien en ressorti avec le fruit de la convoitise de la princesse souillé. Alors, gênée et rougissante, la jeune fille décida de nettoyer tout ça, mais n'ayant pas de chiffons propres, elle décida de s'en charger avec sa délicate bouche frêle et mielleuse.

Une fois Dagobert bien nettoyé, elle se retrouva contrainte d'avaler ce qu'elle avait dans la bouche, alors non contente, elle s’exécuta, puis déposa une caresse amicale sur la tête de son fidèle Dagobert en lui promettant qu'ils ne s'arrêteraient pas là. Enfin, elle remit son corset et sa robe, puis retourna à sa fenêtre pour chanter sa comptine qui faisait «Mort, mort, mort, ils sont tous mort. Mon frère, mon père, ma sœur. Morts d'un coup de hache. Morts, morts, morts, ils sont tous morts. Même Jon Snow la tapette il est mort. Mort. Mort. Mort.»
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Message par Hyoga Cygnus Jeu 28 Jan - 3:44

Yéé c'est bien écrit hé bravo chevalier poignéedeporte !!!

Je me demande ce que ça donnerait maintenant remixé par le chevalier raskholnikov.

Hyoga Cygnus

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Message par PierrotBillyBob Jeu 28 Jan - 5:23

Nous sommes en plein Paris, dans le Vème arrondissement. Anne Marie de Turlutte est seule à la maison dans son grand appartement. Son père, Armand est en voyage d'affaires en Suisse, où il travaille une grande partie de l'année. Sa mère Catherine, suit un cours de tennis dans un country club à l'ouest de Paris. La pauvre petite ne se doute pas que sa génitrice se fait en fait violemment pénétrer par le professeur de tennis une à deux fois par mois, tandis que son père va allègrement profiter des prostituées de qualité qu'il trouve en Suisse. Ce couple avait pourtant tout pour lui: deux cadres catholiques, issus de bonne famille, et disposant tous deux d'une carrière prometteuse. Tout à changé lorsque Anne Marie est née, en effet, elle est trisomique. Pour deux catholiques pratiquants et craignant le Seigneur, l'avortement était impensable. D'ailleurs, ils ont accueilli Anne Marie comme un don du ciel, convaincu que leur enfant, bien que différente, serait une boule d'amour dans leur vie.

Au début, le bonheur était total, et le cercle social auquel appartenaient M et Madame de Turlutte trouvait admirable le choix courageux du jeune couple. Mais rapidement, au fur et à mesure que leur enfant grandissait, ils se sont rendu compte qu'ils n'étaient pas prêts à l'élever. Peu affectueuse, Anne Marie ne pouvait (de par son handicap) interagir avec les autres enfants, et en devenait aigrie. Ses parents ont vu peu à peu leurs amis s'éloigner, préoccupés par leur propres enfants (en parfaite santé, bien évidemment). Pensant que mettre leur enfant en structure adaptée serait un signe de manque d'amour, ils se sont efforcés de l'élever et de l'éduquer à la maison. In fine, c'est avec soulagement que le couple dysfonctionnel quittait le domicile pour aller travailler, et quelque part, profiter de la vie, tandis qu'une employée veillait sur Anne Marie. Celle-ci, peu consciencieuse, quittait souvent le domicile, laissant Anne Marie avec Frank, le St Bernard qui lui avait été offert pour son anniversaire, afin qu'elle ne soit pas trop seule.

Bien que le retard mental l'empêchait de s'en rendre compte, Anne Marie avait atteint la puberté, et ses hormones faisaient leur travail. Ne sortant jamais de chez elle, elle était en surpoids (un médecin moins politiquement correct et pointilleux dirait qu'elle était en fait obèse). Souffrant fortement d'acné, et incapable de s'intégrer à la société de par elle même, elle n'avait ni amis, ni copain, et restait donc seule avec le Saint Bernard la plupart du temps. Les pulsions sexuelles, qu'elle ne comprenait pas, lui firent rapidement découvrir la masturbation.

Un beau jour, alors qu'elle se masturbait, assise par terre , le Saint Bernard vint lui lécher la main, comme il avait l'habitude de le faire. Par inadvertance, la langue du chien effleura son clitoris. Jamais Anne Marie n'avait ressenti de tel plaisir. Sans trop y penser, elle poussa la tête de Frank afin qu'il lèche ses lèvres et son clitoris. C'est ainsi qu'elle vécut le premier orgasme de sa vie. Mais elle était loin d'en avoir fini. Elle savait que caresser le pénis de son chien le faisait grossir. (On lui avait d'ailleurs dit de ne pas le faire). Elle parvint à donner à Frank une belle erection. Le chien n'en demanda pas plus, et se jeta sur elle. Elle tomba à la renverse, les jambes écartées. Telle une boule de poils à l'assaut d'une boule de pâte à modeler, Frank essaya de pénétrer le vagin d'Anne Marie, qui ne comprenait toujours pas très bien ce qui se passait. Etant pataud, Frank ne pénétra pas le vagin de sa maîtresse, mais son anus.

La douleur était intense, Anne Marie voulait du plaisir, pas cette douleur intense. Elle pensait que son anus se faisait déchirer, et poussa de toutes ses forces pour que Frank s'en aille. Malheureusement, elle avait du mal à se relever d'elle même, et ne pouvait pas échapper à son chien. En sueur, luttant pour respirer, ce n'est qu'au bout d'une bonne vingtaine de minutes qu'elle sentit un liquide chaud dans son anus meurtri, et son chien la libérer de son emprise.

Elle savait qu'elle venait de faire quelque chose d'unique, et probablement d'interdit. Elle ne devait pas toucher la bite du chien. Malheureusement, elle voyait ses matières fécales sur le pénis de Frank. Soucieuse de ne pas se faire gronder, elle cherchait du regard quelque chose pour effacer les traces de son méfait. Incapable de trouver du sopalin dans sa chambre (sa petite planète magique à elle), elle décida de lécher le pénis du chien pour enlever les traces de pneu. Grimaçant à cause du goût amer, elle parvint tant bien que mal à lécher le chibre de Frank jusqu'à ce qu'il soit propre. Inquiète à l'idée de se faire punir, elle alluma la télé, allongea son gros corps dans le canapé, en essayant d'oublier ce qu'elle venait de faire.

Elle venait à peine de s'installer lorsque sa mère ouvrit la porte d'entrée.
"Hé, mais ça pue ici!", dit sa mère en entrant dans le salon, alors que Sansa se faisait brutalement violer par Ramsay Bolton sur leur écran de 46 pouces.


PS: C'est mal de se moquer des handicapés mentaux. Désolé pour les fautes, il est tard, pour moi.


Dernière édition par PierrotBillyBob le Jeu 28 Jan - 6:01, édité 1 fois

PierrotBillyBob

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Message par Hyoga Cygnus Jeu 28 Jan - 5:36

Talent.

Hyoga Cygnus

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